Partie de la série “40 Pensées de Jésus”. Retrouvez ici toutes les publications antérieures mais sachez d’abord comment fonctionne le propos en cliquant ici.

Si quelqu’un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. (Matthieu 5:41)

Le propriétaire d’une pâtisserie était à la recherche d’un jeune homme pour commencer à travailler et à l’aider dans le quotidien de son commerce. Trois garçons se sont présentés pour le test : Maurice, Jean et Antoine. Le test consistait à remettre un gâteau confectionné dans une belle boite à Madame Marie Dupont, au 789 rue des Archers.

Maurice fut le premier à sortir mais, au milieu du chemin, il téléphona à la pâtisserie pour demander si le numéro était le 798 ou le 897. Une heure plus tard, il revient finalement avec la boite à gâteau en disant que ce numéro n’existait pas.

Jean fut le suivant. Il sortit et revint immédiatement, rapportant avec lui la boite du gâteau. Il raconta que le 789 rue des Archers était une église et que Madame Marie Dupont habitait en réalité au 789B mais qu’elle avait récemment déménagé.

C’était le tour d’Antoine. Il sortit et prit plus de temps que les autres garçons, mais il revint sans la boite du gâteau. Antoine a découvert la même chose que Jean, mais il n’en est pas resté là. Demandant aux voisins, il a réussi à découvrir la nouvelle adresse de Madame Dupont et il y est allé. Madame Dupont lui a dit (comme on pouvait s’y attendre) qu’elle n’avait rien commandé. Mais Antoine a déballé la boite, a montré le délicieux gâteau, lui a donné le prix et l’a convaincue de l’accepter et de payer le prix pour la livraison.

Quel est le garçon que le propriétaire de la pâtisserie a employé ?

“Faire un mille de plus” est l’une des pensées les plus connues de Jésus. Même ainsi, pour être si peu pratiquée, nous nous étonnons deux mille ans après lorsque quelqu’un dépasse nos attentes. La majorité des personnes ne veut même pas marcher un mille, imaginez deux. Maintenant imaginez les opportunités que cette attitude vous apporte si vous commencez à marcher plus d’un mille en tout ce que vous faites ?

Mise en pratique : Promettez moins, donnez plus.

Et si vous deveniez un « mari un mille de plus », une « épouse un mille de plus », un « enfant un mille de plus », un « employé un mille de plus », un « patron un mille de plus », un « chrétien un mille de plus »…? Comment pouvez-vous devenir « un mille de plus » dès à présent ? Laissez votre commentaire.